vendredi 29 avril 2016


Question de sécurité  (La nouvelle à chute)



Je leur avais bien dit que ce n'était rien, mais le Monsieur a telephoné les pompiers. Le sang coulait et le visage de mes amies etait en choc. On a essayé de nettoyer le sol pour qu'il n'y reste plus de sang. L'ambulance est arrivée et j'y suis montée. Quand on est arrivés à l´hôpital, le docteur m'a regardé et m'a demandé sérieusement de “ne pas bouger”. J'étais attérorisée. À la fin, je suis sortie avec deux points de suture au doigt ! 


 Ana Patricia Fajardo

Un nouvel ami (La nouvelle à chute)

Je leur avais bien dit que j’étais désolé, que je changerais, mais c'était comme si personne ne m’écoutait. Les deux hommes, après m’avoir capturé, m’ont mis dans le camion et m’ont emmené à la prison. J’avais été condamné à la peine de mort. Deux mois se sont passés, je savais qu’il ne me restait pas beaucoup de temps. Un jour, je me suis réveillé avec les pas du bourreau, qui s’approchaient vers ma cellule. Quand il a ouvert la porte, je savais que ma vie avait déjà fini, je n’avais pas la forcede me résister. Il m’emmenait vers la chambre où je dirais adieu au monde. Tout à coup, je me suis senti plein de courage, j’ai fait un dernier essaie pour m’échapper. J’ai commencé à courir le plus vite que j’ai pu vers la sortie. Je pouvais déjà voir les rayons du soleil. Enfin j’étais dehors, libre de nouveau. J’ai continué à courir jusqu'à ce que je n’ai plus pu, et je suis tombé endormi. J’avais dormi pendant trois jours ou quatre, peut-être, quand j’ai senti quelque chose qui m’a réveillé. Un homme me caressait la tête. Il était très gentil. Je lui ai léché les mains. « Pauvre chien, tu es tout seul maintenant », m’a dit-il. J’avais un nouvel ami. 

 Ricardo Castrellón